"Dans un futur proche, des extraterrestres hostiles, les Formics, ont attaqué la Terre. Sans l’héroïsme de Mazer Rackham, le commandant de la Flotte Internationale, le combat aurait été perdu. Depuis, le très respecté colonel Graff et les forces militaires terriennes entraînent les enfants les plus doués dès leur plus jeune âge, afin de découvrir dans leurs rangs celui qui pourra faire face à la prochaine attaque. Ender Wiggin, garçon aussi timide que brillant, est sélectionné pour rejoindre l’élite. À l’École de Guerre, Ender apprend rapidement à maîtriser des jeux de guerre de plus en plus difficiles où son sens de la stratégie fait merveille. Graff ne tarde pas à le considérer comme le meilleur espoir des forces humaines. Il ne lui manque plus qu’à être formé par Mazer Rackham lui-même, pour conduire ses frères d’armes dans une bataille épique qui décidera du sort de la Terre et de l’humanité…"
Voilà, voilà. Cela faisait longtemps qu'on n'avait vu Harrisson Ford dans un film de science fiction. Cela donne au film un peu plus de "corps", parce que d'entrée de jeu on pourrait se dire : "tiens, encore du bon vieux blockbuster aux stéroïdes", en songeant à tout ces films d'Aliens qu'on nous sert depuis quelque temps : d'invasion Los Angeles à Pacific Rim, en passant par Battleship. On est loin du charme suranné des premiers "Guerre des étoiles", qui racontait une histoire !
A propos d'histoire et de Blockbusters, "La Stratégie Enders" me fait penser à... Independence Day (ID4).
Ce film d'invasion, sorti en 1996, et qui a lancé la carrière du grand Will, avait à l'époque renouvelé le genre. Il ne m'était jamais venu à l'esprit qu'il put y avoir une suite. Le film était sorti avant la mode des suites, astuce commerciale plus que nécessité scénaristique souvent, empruntée directement de l'expérience des séries cultes.
En effet, je ne sais pas vous, mais les premières images du trailer de la Stratégie Enders, la bataille aérienne, m'ont fait penser à ID4. Et de me dire que l'un pourrait très bien être la suite de l'autre. Sauf que, ID4 aura bien une suite. En deux parties. Ben voyons. Et Roland Emmerich de remettre le couvert, 16 ans après ! Sans Will, pour le coup, devenu trop gourmand. Le retour des têtes de crabe aux dreadlocks, venus venger leurs congénères. Je me demande comment ils vont ficeler cette affaire. Au moins peut-on espérer, naïvement, qu'une suite en deux parties veut dire que l'histoire vaut la peine. Wait and see.
Et pour mémoire
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