mercredi 31 octobre 2012

STAR WARS OU LA FIN DU REVE

Celui qui ne sait pas que LucasFilm a été racheté par Disney vit dans un trou perdu et ne sait même pas ce que "internet" veut dire. Quelque part, il a de la chance.

Et quand j'apprend qu'ils vont nous pondre une suite à StarWars, je saute au plafond. Et la lecture de cet article n'est pas fait pour me calmer !
Pourquoi s'acharner à faire des suites à tout ? ah, oui... bien sûr...pour faire du pognon. Au détriment du rêve. Car rien ne nous dit que ces suites seront à la hauteur des deux précédentes trilogies, qui, à mon sens, se suffisent à elles-mêmes. Le père Lucas l'avait lui-même dit : StarWars, c'est l'histoire d'Anakin Skywalker. Le personnage mort, rien ne justifie une suite. Mais l'homme se renie, je dirais même se prostitue pour une retraite dorée, livrant cette magnifique histoire aux griffes et aux dents longues de Mickey ! 

On a cassé le rêve. A force d'exploiter un filon, on finit par l'épuiser et briser ce charme subtil qui nous transportait ailleurs. StarWars était entré jusqu'ici dans une sorte de bulle où le temps s'est arrêté. Déjà, les enjeux, les personnages, l'intrigue sont le reflet de l'âme humaine elle-même, dans tout sa lumière et toute sa noirceur. Les thèmes abordés y sont en effet éternels, intemporels.
Maintenant on veut sortir StarWars de sa bulle et en faire une exploitation commerciale. C'est très triste. 
Je comprend un peu mieux pourquoi les héritiers de Hergé n'ont jamais voulu qu'on continue Tintin. Pour préserver le rêve, pour inscrire une oeuvre dans cet espace-temps préservé, il est nécessaire, un jour, d'écrire et d'accepter le mot "fin".

mardi 30 octobre 2012

CULTURE RUSSE

Voilà un site qui vous plonge dans la Russie littéraire et historique, agrémenté de quelques oeuvres d'art. Vous y apprendrez pas mal de chose sur ce grand pays, grand aussi bien par la superficie que par son histoire. Une histoire ou le peuple est le personnage principal, finalement, un peuple meurtri, un peuple multiculturel, un peuple fier, balloté au gré des invasions et des révolutions, un peuple enraciné dans ce vaste pays comme faisant partie de la terre elle-même. C'est aussi l'histoire de grands hommes, qui ont apporté une part non négligeable de leur talent, de leur intelligence et de leur esprit au grand livre de l'humanité. Le site est en français, en anglais et en russe, bien sûr !


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Cela n'a rien à voir mais l'une des plus formidable illustration de cette force brute qu'inspire la Russie et le peuple russe n'est-elle pas cette magnifique fusée ? La seule qui ait peu ou pas changé depuis les premières heures de la conquête spatiale et qui fonctionne toujours. C'est même grâce à elle que la station spatiale internationale est toujours habitée, après la fin de l'exploitation des navettes américaines. 



vendredi 26 octobre 2012

ART OF SEDONA


"Sedona... ? kezako Sedona ?" vous allez me dire. 
Et bien un petit tour sur Wikipedia vous apprendra que :
"Sedona est une ville de l'Arizona aux États-Unis située à une centaine de kilomètres au sud de Flagstaff à cheval entre les comtés de Coconino et de Yavapai dans la région nord de Verde Valley. Selon les évaluations2005 du bureau de recensement, sa population est de 11 220 habitants. L'attraction principale de Sedona est la variété qu'elle offre de formations de grès rouge, les « roches rouges de Sedona ». Les formations semblent varier entre l'orange brillant et le rouge au lever et au coucher du soleil. Sedona est baptisée du nom de Sedona Miller Schnebly (1877-1950), épouse du premier receveur des postes de la ville, connue pour son hospitalité et son activité."
Bref, le genre de joli trou perdu des States où on verrait bien tourner un western ou un de ces films de monstres style "Tremors" ou "Spiders"...
Ben pas seulement. Sedona est aussi le siège de la Goldenstein Gallery, où exposent 59 artistes. Du talent à revendre. Des mondes à découvrir. Des styles différents. De belles choses à voir. 
"Goldenstein Gallery, a name synonymous with style and innovation, has been delighting locals and visiting collectors for years.Located in beautiful uptown Sedona, the gallery is known for its diversity of world-renowned local and regional artists in all media and styles. They consistently surprise collectors with the unexpected, mounting a new show each month yet being able to show work from all of the artists they represent. Their 1st Friday events are highly attended by the artists they represent which creates an unparalled ambiance.  
staff






 







The owner, Linda Goldenstein who was crowned the 'Art Maven of Sedona' by Arizona Republic art critic John Villoni, has worked with celebrated established artists as well as exceptional emerging artists. Although Linda and the Gallery have worked with hundreds of artists including respected museums & community exhibitions, the award winning gallery now focuses on more than 35 fine local and regional artists. Linda Goldenstein's commitment to giving both new and establish 'art mavens' an unforgettable experience is reflected in the ongoing changing exhibitions.Goldenstein Gallery is located at 390 N. Hwy. 89A in uptown Sedona and is open daily. The stunning sculpture welcomes and delights visitors. Parking is available behind the gallery. Sign up for their informative E-zine released monthly or call 928-204-1765 for additional information."

mercredi 24 octobre 2012

(Invincible) ARMADA

Fondus de musique électronique, malades de Trance, mordus de synthés depuis le berceau, drogués de samples et dingues de beats frénétiques... à vos claviers si vous ne connaissez pas encore "Armada music" ...

"Armada Music was founded back in 2003 by Armin van Buuren, Maykel Piron and David Lewis, of which the first 2 letters of their names form nothing less than ‘Armada’. The company celebrates its nine year anniversary in 2012 and has brought a range of quality releases over the past years, which resulted in the ‘Best Global Dance Label’ title four years in a row, as awarded by the International Dance Music Awards of 2009, 2010, 2011 and 2012. The Amsterdam-based label works with and manages some of the biggest names in dance music, like Markus Schulz, Paul Oakenfold, Aly & Fila, Dash Berlin, Paul van Dyk, Roger Shah, Max Graham, Andy Moor, Mischa Daniels, Chicane, Gabriel & Dresden and of course Armin himself. Working together with the Armada team, these artists and their individual labels – Coldharbour Recordings, Perfecto Records, Ava Recordings, Pilot 6, Electronic Elements, Armind, Subculture and A State Of Trance are just a selection of the over 25 sub labels now residing under Armada, have built a solid reputation in the global dance music scene. But it doesn’t stop there."

vendredi 19 octobre 2012

PEINTURE ET POÉSIE…


… Ou devrais-je dire "poésie et peinture" ? Qu'importe, Lucy donne le meilleur dans les deux arts, en se livrant un brin. 
Ses tableaux vivent d'une énergie propre, ils explosent littéralement, comme des instantanés saisissant la fuite en avant du temps...  Son site est une fenêtre sur son univers personnel. Ne vous étonnez donc pas qu'elle y évoque ce qu'elle vit. 

lundi 15 octobre 2012

ZOMBIES

 Sortie de ciné. Je suis allé voir le dernier volet de la saga des "Resident Evil". Bon, moins pour le scénario que pour la plastique de Milla Jovovich, je l'avoue. Il faut dire que je ne suis pas particulièrement fan de films de zombie, comme d'autres. Si les premiers Resident Evil restaient dans le domaine de la SF-horreur, où transpirait leur ADN "video game", ce dernier volet m'a clairement fait l'effet d'un jeu vidéo transposé à l'écran, sans artifice ni cosmétique.
Je me suis fait ma propre idée du concept zombie, certainement corroborée par ailleurs, mais je vous la livre brute de décoffrage, sans recherches préalables.
Ne serait-ce pas là une transposition horrifique de l'histoire des moutons de Panurge ? Ne serions-nous pas, tous, d'une manière ou d'une autre, contaminés, et contaminants ? Quelle est notre attitude, notre comportement, face aux artifices de la société de consommation, dont les médias sont la vitrine et la mode l'hormone principale ? Comment éduquons-nous nos enfants face aux agressions permanentes, et souvent insidieuses, de cette société ? Comment agit-on individuellement face à une situation critique, et quel est notre libre arbitre quand nous sommes dans une foule, face à une situation critique ? Mon voisin que je ne connais pas est-il mon ennemi ? peut-il le devenir ? Comment j'agirai envers lui s'il le devient ? Lorsqu'on observe les faits divers et les scènes de guerre, la réalité, finalement, n'est-elle pas pire que la fiction ?


Resident Evil Retribution - Nouvelle bande... par Avenue-de-l-horreur

lundi 8 octobre 2012

PAYSAGES DU MYANMAR

Je vous propose un petit voyage au Myanmar, via un joli diaporama. Découvrez ce superbe pays encore difficile politiquement parlant. Une belle évasion.

Photo Nadine Mercure


samedi 6 octobre 2012

LES RÊVERIES DE JOSÉPHINE


Certains vont trouver ces tableaux un peu niais, et d'un romantisme dégoulinant. Cela a été, en tout cas, ma première impression. Mais à bien y regarder, ils ont un certain charme, désuet, peut-être, mais un charme tout de même. Remarquez la foison de détails, mis en valeur par le choix des couleurs. A explorer sur le site de l'artiste, Josephine Wall.

mercredi 3 octobre 2012

NEAR DEATH EXPERIENCE



Un reportage assez complet et troublant à visionner sur YouTube. A priori, aucune raison de douter de la bonne foi de ceux qui témoignent. Le phénomène laisse perplexe la communauté scientifique depuis des années, en dehors de ceux qui y croient, et qui ont élaboré des débuts de théorie sur la chose à l'exemple du docteur Charbonnier, et de ceux qui pensent que tout cela n'est dû qu'à des hallucinations provoquées par le manque d'oxygène dans le cerveau.
Pour autant, même si on met toute forme de foi de côté, et si on part du postulat que les NDE ou EMI sont authentiques et véritables, on peut, avec le seul bon sens et la seule logique comme guides, se poser un certain nombre de questions.
Et d'abord un constat : en admettant donc que les acteurs de NDE aient dit vrai, on peut en déduire au moins deux choses :
- Les "autorités supérieures spirituelles" (quelque soit le nom que les religions leur donne) ne voient pas d'inconvénient à ce que les gens qui reviennent à la vie racontent ce qu'ils ont vu. Peut-être tout simplement parce que la nature humaine étant ce qu'elle est, "ils" savent que peu de monde les croira.
- Tout ce qu'on vu les rescapés de la mort n'est qu'une illusion mise en place par ces "autorités" afin de dissimuler la vérité à ceux qui ne sont pas destinés à mourir tout de suite.
Les questions sont les suivantes :
Dans beaucoup de cas, l'esprit de la personne rencontre un défunt ou un "ange" qui lui fait retourner en arrière, parfois manu-militari, en disant "ce n'est pas encore ton heure". Cela voudrait-il dire que chacun d'entre-nous a une "heure" pour mourir prédéfinie, et que le hasard n'a rien à faire là-dedans ?
D'un point de vue strictement biologique, nous savons que cette programmation existe (Il existe beaucoup d'exemples de personnes alcooliques, qui fument, qui n'ont aucune hygiène de vie et qui meurent relativement vieux, tandis que d'autres personnes, sportives, ne fumant pas et ne buvant pas, s'écroulent subitement dans la force de l'âge et parfois très jeunes). Mais les aléas de la vie peuvent précipiter les choses. Ces aléas seraient-ils aussi programmés ?
Je pense à ce passage de "la machine à remonter le temps" ou le héros essaie de sauver sa fiancée en remontant dans le passé, sans y parvenir, réalisant que c'était son destin. Il y a aussi la fameuse saga Destination finale, où la mort poursuit ceux qui ont réussit à lui échapper. 
D'autre part, on peut dire que le "doute" des humains, évoqué plus haut, pourrait être le seul garde fou qui permette d'éviter une grande vague de suicide collectif. En effet, si on apporte la preuve irréfutable que la vie et la conscience ne s'éteignent pas à la mort, et que cette vie est meilleure de l'autre côté, combien de gens qui souffrent seraient tentés de passer l'arme à gauche ?
Cette idée a été reprise dans le roman de Clifford Simak "Demain les chiens", où l'humanité, découvrant une existence paradisiaque sur Jupiter grâce à une mutation, déserte la Terre.
C'est un peu vite oublier un sacré garde-fou inscrit au plus profond de nos gènes : l'instinct de survie.
La vie trouve toujours un moyen de se perpétuer, et de se préserver.
A lire aussi sur le sujet : Les Thanatonautes.

mardi 2 octobre 2012

DRAGON FANTASY

Une très belle collection d'images de fantasy et de SF, pour les amateurs du genre. A admirer sur Dragon fantasy.