vendredi 28 juin 2013

RADICAL FACE

Ce n'était la pub Nikon, je serais passé à côté cet album. Et cela aurait été dommage. 


"Radical Face est un pseudonyme de Ben Cooper (né en 1982), habitant Jacksonville, en Floride. Ben Cooper est aussi un des deux musiciens de Iron Orchestra et de Electric President, ainsi qu'un des trois membres de Mother's basement. Le pseudonyme a été trouvé par Cooper sur un prospectus déchiré, un dépliant de chirurgie esthétique intitulé "Radical Face-Lift" dont le mot "lift" était arraché." [wikipedia]
"Welcome Home", le morceau illustrant la pub, tiré de l'album "Ghost" sorti en 2007 est une jolie ballade aux consonnances très Simon&Garfunkel, trouvais-je (voir les vidéos en bas). Par la voix du chanteur, déjà, et par la rythmique aussi. Tout l'album est du reste dans la même veine : des morceaux aux guitares acoustiques rêveuses ou emportées, au piano comme la pluie dans les flaques d'eau, avec toujours la voix profonde de Ben Cooper qui fait penser à celle d'un conteur devant des enfants émerveillés. Un conteur d'histoires de maisons.
"Lorsque Ben Cooper a décidé de composer cet album, il avait déjà écrit une quantité considérable de chansons depuis 2004. Après avoir enlevé les chansons qui lui parlaient le moins, il en resta tout de même un certain nombre, qu'il du partager en deux parties. La première partie constitue l'album Ghost. L'autre partie a été réservé pour de futurs albums.
Ghost, sorti en mars 2007 et produit par le label Morr Music, est un album concept basé sur l'idée de maisons, ayant gardé en mémoire toutes les histoires qui se sont déroulées en elles. Chaque chanson est une histoire, et quelques-unes sont racontées du point de vue de la maison. Cooper a cité une vieille maison, dans laquelle il vivait, comme l'une de ses sources d'inspiration pour Ghost. Une grande partie de son travail a été réalisé dans un vieux hangar derrière sa maison. Emeral Cooper (son plus jeune frère et collaborateur dans Iron Orchestra), Mark Hubbard et Alex Kane ont collaboré avec Ben Cooper pour certains titres. L'enregistrement a duré 10 mois."




lundi 24 juin 2013

FUTURE TRANCE ANTHEMS

Dans la saga des Future Trance Anthems, voici le volume 4. A écouter à fond sur l'autoroute (le volume à fond hein, pas la vitesse !)




vendredi 21 juin 2013

PEINTURES ECOLOS

Marmotte des Alpe Animal à fourrure. Ghislaine Letourneur.  Gouache
Crea GL. Drôle de nom pour un blog. En fait GL sont les initiales de Ghislaine Letourneur, qui s'y présente comme Artiste peintre, auteure... qui fait de l'écologie en création. Voilà qui tombe bien, chez nous on aime ça l'écologie et la création.

"Artiste peintre, plasticienne, auteure jeunesse. Sur mon blog, je vous invite à découvrir comment l'écologie peut stimuler l'inspiration grâce à de nombreuses créations."

Sur le blog, vous trouverez des peintures d'animaux, des créations diverses et un onglet "valorisons nos déchets" où elle présente des œuvres réalisées avec des contenus de poubelles

TROU NOIR


Encore un. Ces "objets" ou phénomènes spatiaux, qui fascinent et font peur à la fois, gardent encore une part de mystère. L'observatoire de Paranal au Chili en a observé un, super-massif, avec la poussière qui l'environne. Je vous laisse découvrir ça sur Techno-Science.net.

vendredi 7 juin 2013

LÉGENDES INDIENNES

Photo Travelshop.fr
L'inde est un pays qui m'a toujours fasciné, peut-être parce que parmi mes ancêtres, il y a un indien du Tamil Nadu. Cet immense pays bourré de contrastes, où se côtoient les hommes les plus riches et ceux vivant dans l'extrême dénuement au point que la société est encore divisée en castes... ce pays magnifique aux paysages grandioses enchâssé dans l'Himalaya comme une pierre précieuse dans une bague d'or ; cette nation qui a su malgré les grandes difficultés auxquelles elle fait face devenir un acteur majeur sur le plan international ; Cette terre de légende aussi... Allez donc faire un tour sur Mythes et Légendes, pour un voyage imaginaire qui vous sortira quelques instant de votre quotidien...

mercredi 5 juin 2013

FILMS DE SINGES


Si la parenté, même lointaine, des hommes et des singes semble toujours faire l'objet de discutions passionnées chez les scientifiques, le cinéma n'a jamais cessé d'utiliser les singes (animal anthropomorphe s'il en est) comme des miroirs de la nature humaine, souvent dans ce qu'elle a de plus vil.

Étrangement je me dis tout à coup que le singe est assez peu (voire pas, mais je ne puis être affirmatif) présent dans la fantasy, excepté quelques ouistitis par ci par là. Vous allez me dire que la fantasy privilégie les animaux fantastiques comme les licornes et autres griffons. Mais on a aussi des araignées, géantes certes (Le Seigneur des Anneaux, Harry Potter...) et ce sont des êtres biens réels dans notre monde. Peut-être que cette dernière véhicule-t-elle plus de fantasmes ?
Revenons au cinéma. On pense bien sûr, en premier lieu, à la série des "Planète des singes", que ce soit la première ou les remakes réçents. Si l'on s'en tient purement et simplement au niveau du sens, je préfère de loin le premier film, celui de 1968, avec l'immense Charlton Heston, même si celui-ci est plus caricatural, d'une certaine façon, et peut-être justement parce qu'il l'est. Il faut resituer le film dans le contexte de l'époque (guerre froide, révolution culturelle, front anti-guerre du Vietnam et apogée du mouvement hippie) afin de bien saisir à quel point la société simiesque décrite dans cette histoire est une sorte de boomerang métaphorique des erreurs de l'humanité, qui ayant joué avec la bombe A, est retournée à la vie primitive, prenant la place des singes. Du coup, ce retour à la vie primitive est aussi le retour à l'innocence, un thème vu par ailleurs dans "la machine à explorer le temps" de Wells. C'est le mythe du "bon sauvage", qui trouve son origine dans les écrits de J.J. Rousseau.
L'affaire transpire d'ailleurs dans le fond du scénario, puisque ceux qui, parmi la civilisation singe détiennent une certaine science, la garde jalousement, par peur que celle-ci, se développant, ne les mettent sur la route des erreurs empruntée auparavant par l'humanité.

Nous renvoyer nos erreurs dans la figure semble être le rôle principal du singe. 
Le deuxième film de singe le plus célèbre, ou est-ce le premier ?(je vous laisse le choix), c'est King-Kong, film lui aussi relifté à maintes reprises, le dernier en date étant celui de Peter Jackson en 2005. Un pamphlet sur l'intolérance et l'impuissance de l'homme à respecter la nature dans toutes ses différences.
Laissons là la science-fiction et le fantastique pour la fiction simple, puis la vie bien réelle. Il y a d'abord Instinct de Jon Turteldaub, en 1999, avec un très grand Anthony Hopkins très à l'aise dans le rôle du gros dérangé depuis le Silence des agneaux. Le film raconte l'histoire d'un primatologue enfermé dans une prison spéciale pour criminels fadas à la suite du meurtre d'hommes venus massacrer la famille de gorilles dans laquelle il s'était intégrée. La lutte contre la bêtise humaine pour protéger les gorilles renvoie bien sûr à Gorilles dans la brume, avec une Sigourney Weaver à peine remise des ses Aliens.
Plus scientifique, mais tout aussi révélateur du rapport hommes-singes, Ham, de Jérôme-Cécil Auffret en 2006. L'histoire du chimpanzé qui est allé dans l'espace dans une capsule Mercury. Plus dramatico-romantique, Hanuman de Fred Fougea.

Des films mettant en scène des singes, il y en a des tas. Pour vous distraire, voici un quiz cinéma avec des films ayant des singes pour acteurs.